TempleOfAsgaard a écrit:ChuckSchuldiner a écrit:En effet je pense que certains n'ont pas écrit leurs textes que sous l'influence du malin
La poésie si noire soit elle peut être innée je pense
J'ai pas eu souvenir d'un poète clean. Surtout noirs, et ce depuis un bail (cf
https://fr.wikipedia.org/wiki/Club_des_Hashischins).
Après oui comme l'a dit ikea la drogue et la musique sont souvent liées, que ce soit par marginalité (des jazzmen qui étaient souvent issus des quartier pauvres blacks aux punks et leur no futur) soit parce que les deux combinées font plus facilement entrer en état de transe (le rock psychédélique et la techno en tête, l'ecstasy est pour beaucoup dans le développement de la scène house puis rave).
A part peut être la scène SxE vu que c'est une scène qui n'existe que dans le rejet de la consommation de drogues, encore que certains pourraient dire que la recherche de montée d'adrénaline de la plupart de ceux du milieu s'apparente à une prise de drogue (mais là je force un peu le trait).
Je ne vois pas trop pourquoi le BM échapperait au phénomène, et surtout pas à cause du côté élitiste, la drogue n'est pas que l’apanage du pécus vulgaris et il a souvent été démontré que les gens les plus intelligents (s'il y en a plus qu'ailleurs dans le BM ce qui reste à voir) sont plus sensibles aux addictions :
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/ ... la-drogue/ Si on rajoute le fait que pour composer / jouer de la musique il faut une certaine sensibilité et que pour composer / jouer du BM il faut une certaine asociabilité on a le combo parfait pour la prise de drogue.