Bonjour la compagnie,
Comme je l'ai signalé dans le questionnaire ni pertinent ni obligatoire, j'ai plusieurs passions qui sont des piliers de ma vie : la poésie et Death.
J'écris depuis près de onze ans, et je participe depuis presque aussi longtemps de manière active sur un forum d'écriture. Je vis poésie autant que je vis musique, et que je vis Death. Tous les jours, il me faut ma dose de ces deux éléments.
L'année dernière, suite à un quotidien assez rude (et que j'ai pu surmonter grâce, notamment, à la bienveillance des membres de ce forum ainsi que les découvertes musicales... Ustalost ? ), j'ai écouté le Sound of Perseverance sous un autre jour. Et j'ai écrit, encore et encore, en prenant pour base une forme qui m'avait permis de remporter un prix de poésie.
On se raccroche à ses réussites pour se redonner de l'espoir.
C'est ainsi que j'ai achevé ce recueil : Le Chant de la Persévérance (ce qui explique en partie pourquoi j'ai pris du retard sur mes kro... Je vous présente mes excuses).
Envisagé comme un livret d'album (fortement inspiré de Death, vous l'aurez compris), il réunit douze textes qui ont pour particularité de fonctionner en pistes. Ces colonnes se lisent de plusieurs façons, comme j'ai pu écouter les titres de Death piste par piste pour en capter tous les dialogues.
Plus qu'un hommage ou qu'une réécriture, ce livret est ce que la musique (et particulièrement le Metal de Schuldiner) peut, pour moi, formellement apporter à la poésie. Des rencontres au hasard, des relectures, des mises en perspectives... Comme lorsque, adulte, nous revenons vers cet endroit familier qu'on pense reconnaître malgré les métamorphoses. On y cherche un détail, peut-être une réponse. Mais "il m'oublie, et je ne fais que passer."
Ce recueil est disponible sur ce lien, et je vous mets quelques extraits pour que vous puissiez voir de quoi il retourne : https://www.thebookedition.com/fr/le-chant-de-la-perseverance-p-352856.html
Excellente journée/soirée à tous, prenez soin de vous !
Si jamais ce post est hors-propos, n'hésitez pas à le supprimer, je le comprendrai