But a écrit:Par contre c'est assez intéressant ce qui est dit : plus le metal est extrême, moins il est engagé de "gauche" (pour différencier la scène NS), mis à part Dying Fetus je vois rien
voilà, j'aimerai bien comprendre la raison
But a écrit:Par contre c'est assez intéressant ce qui est dit : plus le metal est extrême, moins il est engagé de "gauche" (pour différencier la scène NS), mis à part Dying Fetus je vois rien
voilà, j'aimerai bien comprendre la raison
Sakrifiss a écrit:But a écrit:Par contre c'est assez intéressant ce qui est dit : plus le metal est extrême, moins il est engagé de "gauche" (pour différencier la scène NS), mis à part Dying Fetus je vois rien
voilà, j'aimerai bien comprendre la raison
Je crois que Sordide était dans le cas aussi ? Mais pas sûr...
tasserholf a écrit:But a écrit:Par contre c'est assez intéressant ce qui est dit : plus le metal est extrême, moins il est engagé de "gauche" (pour différencier la scène NS), mis à part Dying Fetus je vois rien
voilà, j'aimerai bien comprendre la raison
Napalm Death ? + la majorité du grindcore, reste à savoir si on classe le grindcore dans le metôl.
But a écrit:tasserholf a écrit:But a écrit:Par contre c'est assez intéressant ce qui est dit : plus le metal est extrême, moins il est engagé de "gauche" (pour différencier la scène NS), mis à part Dying Fetus je vois rien
voilà, j'aimerai bien comprendre la raison
Napalm Death ? + la majorité du grindcore, reste à savoir si on classe le grindcore dans le metôl.
J'ai tendance à voir dans le grind une extension du punk/HxC
J'ai tendance à voir dans le gore/porno/grind une "metalisation" du grind, ce qui rentre bien dans ma case "metal = dépolitisation"
@Sakri : j'ai du mal à voir Sordide comme un groupe engagé comme peuvent l'être les NS (en même temps je ne sais pas ce que font les membres politiquement en dehors du groupe), mais il y a un côté "désabusé, haine spontanée" qui ne confère pas à l'héroïsme, à la contemplation guerrière, à l'épique ou au "c'était mieux avant" comme certains trucs de NSBM
J'avais oublié le RABM, mais comme dit tasser ça semble tellement andecdotique...
edit : et pour DF il me semble qu'ils ont arrêté les thématiques politico-sociales (elles sont chez Misery Index maintenant)
tasserholf a écrit:Moui enfin ND pour revenir à eux tendent plus vers le death que vers le punk.
Mais bon je dirais que une des raisons de la sous représentation des thèmes sociaux et politiques dans le metal est peut être que c'est un genre plus introspectif ou contemplatif que revendicatif comme l'est le punk / HxC taillé pour les slogans.
Pour ce qui est de la sur représentation du côté NS dans le peu de discours politique présent est peut être que les idées NS sont vues (à tort peut être mais c'est pas le débat) comme la seule vraie transgression dans le politique qu'il reste à des jeunes occidentaux de "bonne" famille.
But a écrit:Par contre c'est assez intéressant ce qui est dit : plus le metal est extrême, moins il est engagé de "gauche" (pour différencier la scène NS), mis à part Dying Fetus je vois rien
voilà, j'aimerai bien comprendre la raison
Enenra a écrit:Si on commence à parler de démocratisation du Metal ne parle-t-on de ceux qui y sont étrangers ? (et non pas du "core")
Ca commence à partir dans tous les sens.
DN a écrit:Pour une raison qui m’échappe et on pourra peut-être en discuter aussi, depuis quelques temps (et c'est d'ailleurs une des raisons qui m'auront amené à m’inscrire ici) il y a de mon point de vue, un nouvel essor du métal extrême (depuis 2012-13), avec des formations qui ont artistiquement totalement digéré l'essence des scènes alternatives et expérimentales passées.
DN a écrit:Ah tu parles d'eux, le mainstream Ok. Dans ma remarque toute personnelle qu'on va résumer en 98/12 je parle du cœur du core du métal. Le reste c'est les gens, et je peux difficilement en parler, et même en témoigner. : )
Dise Nore a écrit:Enenra a écrit:Si on commence à parler de démocratisation du Metal ne parle-t-on de ceux qui y sont étrangers ? (et non pas du "core")
Ca commence à partir dans tous les sens.
Oui restons groupés!
J'ai tendance à croire (de mon degré zéro en politique) qu'une conscience de manipulation des (classes) dirigent(e)s est une pensée de gauche personnellement.
Un ermite vit seul et reculer, donc à mon sens tout l'opposé de l'acte de refuser et surtout résister. C'est plus proche d'autres verbes comme "abdiquer" ou "renoncer" à mon sens.
Ton concept de "hors-champs" ça vient de quelque part en particulier ?
Dise Nore a écrit:J
L'archétype de l'hermite c'est un modèle de réflexion, une base de recherche pour se réapproprier son être. Et c'est là que justement traverser les cultures des musiques extrêmes (qui ne se limitent pas à la musique) pourra peut-être t’apporter des réponses.
LANGOUSTE a écrit:But a écrit:Par contre c'est assez intéressant ce qui est dit : plus le metal est extrême, moins il est engagé de "gauche" (pour différencier la scène NS), mis à part Dying Fetus je vois rien
voilà, j'aimerai bien comprendre la raison
Je trouve pas ça si étonnant, dans le sens où plus c'est extrême, plus c'est marginal. Il ya donc un desintérêt réciproque pour la société.
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